dimanche 15 avril 2018

QUE FAIRE, COMMENT RÉAGIR FACE AUX TRIBULATIONS ET AUX GRANDES ÉPREUVES A VENIR ?


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Par Éric Ruiz

Ce lundi soir, après une journée de travail fatigante, je laissais la Tv allumée et sur la 3, il y avait là une émission, une rediffusion : « Le monde de Jamy » avec comme thème : « Quand notre météo devient folle».
Et d’un seul coup, ça été plus fort que moi, il fallait que j’ouvre mon ordinateur et que je crée  un « nouveau document Microsoft Word »…Voici la suite.
« Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis…afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes ». (Matthieu 5 : 44)

L’orage comme la foudre frappe n’importe quand, n’importe où et n’importe qui, tout comme les ouragans, les inondations, les cataclysmes sismiques et bien-sûr comme le feu et les incendies.

Ces calamités naturelles semblent toucher, c’est vrai, le juste comme l’injuste, le converti comme l’impie, personne n’y échappe.

Par conséquent, et nous le constatons dans la vie de tous les jours, ce n’est pas à ce moment-là qu’intervient la protection divine…. La providence divine agit le plus souvent beaucoup plus tard.
Elle vient sur les conséquences, dans les répercussions négatives, voire dans les effets destructeurs et bien-sûr quand il n’y a plus aucun espoir de retour.

Donc, prier Dieu de nous soustraire à de telles catastrophes est parfaitement inutile.
Prier Dieu pour que nous soyons expédiés à un autre endroit, différent ou pour nous enlever afin d’échapper à cette tribulation est vain et sera totalement sans effet.

Nous devons quand l’orage gronde et que le ciel s’assombrît, priez davantage, oui, certes ; mais surtout priez dans un autre sens, qui est, lui, très particulier et étonnant.

Nous devons à ce moment-là prier Jésus-Christ d’avoir le pouvoir d’aimer nos ennemis ; de demander donc au Seigneur de briser nos cœurs pour bénir ceux qui nous maudissent ;

« Seigneur que je sois capable de prier avec un cœur sincère pour ceux qui me maltraitent et me persécutent ».

C’est vrai, ce n’est pas comme cela que nos religions nous ont enseigné, mais Jésus oint par le Père nous l’enseigne de cette façon dans Matthieu 5 :44

«  Aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père ». Pourquoi ? «  Car il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes ».

Voyez-vous la relation qui existe entre prier pour nos ennemis, d’un côté et échapper aux malheurs terrestres de l’autre ?
Dieu nous demande d’agir ainsi, en priant pour nos oppresseurs, afin de nous placer nous-mêmes sous sa protection.
Il ne le fera pas à notre place.
Nous devons être des fils (héritier direct du Père) et sortir de l’enfance. C’est un état de maturité.
Cet état, seul, nous permettra (excusez-moi l’expression un peu facile) de passer à travers les gouttes.
«  soyez parfaits (téleios en grec, accompli, mature, homme fait) comme votre Père céleste est parfait » c’est de cette manière que se termine ce chapitre 5 de Matthieu.
Il n’est pas dit que Dieu nous rendra parfait, accompli, il est dit que nous devons, nous,  et nous seul accomplir ce passage vers la maturité.

Schadrac, Méschac et Abed-Nego, les 3 Judaïtes du livre de Daniel, lorsqu’ils ont été mis tous les trois ensembles dans la fournaise, ont dû prier dans ce sens, celui de bénir leurs ennemis.
Pourquoi ?
Parce qu’en plus du résultat miraculeux d’y avoir réchappé sain et sauf, (sans aucune brûlure ni odeur de feu sur leurs vêtements) leur bourreau, le roi Nebucadnetsar impressionné par le prodige a décidé de louer et d’adorer le Dieu des Hébreux.
Nebuccadnetsar a vu à ce moment-là une quatrième personne, sans lien elle aussi, au milieu de la fournaise, ressemblant par son visage rayonnant à un fils de Dieu.
Voilà le témoignage : que le Père était bien avec eux, que ces trois Judaïtes étaient bien oints, c’est lui (Christ, le Messie, le oint) qui a convaincu le roi de Babylone de péché.

« La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison: elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc ».

Cette parabole bien connue de Jésus donne là aussi, un très bon exemple d’un véritable chaos climatique survenant sur une habitation bénie, fondée sur le roc.
Le roc, c’est notre habitation spirituelle, et notre matériau inflammable, inondable, indestructible, j’en avais parlé avant déjà c’est  1 Pierre 2 :4 
Ce roc, c’est notre « saint sacerdoce ».
Nous sommes devenus des pierres vivantes car nous nous sommes offerts (corps, et âme) « comme des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ ».

Là encore, nous avons été traités comme des victimes devant des frères et sœurs oppressants, injustes, prêts à nous trahir où à nous bannir de leur cercle d’amis. Nous n’avons pas essayé de rentrer en guerre contre eux, de s’opposer à eux par la force ou par la ruse.
Nous sommes restés muets, face aux insultes ou face aux paroles accusatrices ; conciliant et dociles comme des brebis que l’on amène à la boucherie.
Loin de les juger, ni de les condamner, nos prières pour eux sont parvenues à Dieu comme une agréable odeur de sacrifice par Jésus-Christ.
Nous avons manifesté un état de maturité, un état de fils de Dieu, en étant persécuté pour la justice ; calomnié, alors que nous disions la vérité… Mais tout en recherchant la paix, jamais la confrontation.

« Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu! » (Encore Matthieu 5)

Malheureusement, ceux qui auront la marque de la bête n’auront aucun bouclier divin protecteur.
Ils moissonneront ce qu’ils ont semés.
Ils tomberont à leur tour dans l’angoisse, l’oppression, l’asphyxie, ou la persécution (6ème sceau de l’Apocalypse).
« C’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents » et Jésus-Christ  dira : «  Je ne sais pas qui vous êtes, retirez-vous de moi vous qui commettez l’iniquité ».

Par contre pour les vrais croyants, le sceau du Saint-Esprit les protégera de tous méfaits.
Apocalypse 9 :4 « Il leur fut dit de ne point faire de mal à l'herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n'avaient pas le sceau de Dieu sur le front ».
La foudre qui touchera ceux qui ont  « le sceau de Dieu sur le front » n’aura aucune conséquence néfaste ; elle n’occasionnera aucun tourment, ni aucune plaie, ni aucune affliction ou tristesse.
 
Jésus prend l’exemple lui aussi de phénomène naturel imprévisible, pour expliquer cette mise à part spirituelle.

« Jésus leur dit: Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l'ennemi; et rien ne pourra vous nuire. » (Luc 10 :18-19)

L’ennemi est bien là, dans le ciel ; il est là dans les animaux hostiles et dangereux, dans les phénomènes naturels, mais sa puissance ne crée aucune nuisance pour un disciple accompli.
Concrètement : on est sous une pluie de grêle, mais nos récoltes ne sont pas détruites.
On est sous les éclairs mais la foudre tombant sur nous n’occasionne aucun foudroiement.
On est sous le feu et les balles de l’ennemi, elles nous touchent, mais ne nous transpercent pas.
Non, nous ne sommes pas dans un film de science-fiction, c’est bien une réalité céleste vécue sur la terre.
Et c’est aussi cela : chassé les démons (Puisque le contexte de Luc 10-18 suit le passage des disciples se réjouissants d’avoir chassé les démons).

« L'Eternel au-dessus d'eux apparaîtra, Et sa flèche partira comme l'éclair; Le Seigneur, l'Eternel, sonnera de la trompette, Il s'avancera dans l'ouragan du midi ». Zacharie 9 :14

Là aussi la religion chrétienne a placé les forces du mal, comme Satan ou Lucifer au beau milieu des cataclysmes naturels intervenant sur terre.
Satan, ou un groupe de satanistes, serait donc responsable des dérèglements et des catastrophes climatiques !?
Dès que le feu descend du ciel ce serait obligatoirement une attaque du diable.
De quelle nature alors, sont les 7 anges d’Apocalypse 8 qui sonnent de la trompette ?
Quand le premier ange sonna de la trompette, il y eut de la grêle et du feu mêlé de sang.
Le cinquième, lui quand il sonna de la trompette, c’est une étoile tomba du ciel et il ouvrit, en plus, le puit de l’abîme.
Cela parait inquiétant, c’est sûr, mais nous savons avec le verset 2 que ces sept anges se tiennent devant Dieu ; ils sont donc à son service.
Comment faire alors pour interpréter un verset (et il n’est pas le seul) où Dieu lancerait lui-même la foudre et où il s’avancerait dans un ouragan (c’est ce que nous dit Zacharie 9 :14) ?

Première pirouette : y aurait-il deux types d’ouragans ? Les divins et les malins ? Comment les reconnaître ? Sans doute devrait-on être averti, d’abord, par un prophète, qui lui seul pourrait les identifier par un esprit de connaissance ? Ce n’est pas sérieux, de penser ainsi, reconnaissons-le !

Deuxième pirouette : l’autre pirouette facile, est de dire que cet ouragan-là (de Zacharie  9 :14) est à comprendre uniquement d’un point de vue spirituel.
Qu’il est facile de séparer le naturel du spirituel quand cela nous arrange !
Dieu sépare bien-sûr les ténèbres de la lumière, mais il n’a jamais séparé le naturel du spirituel ; il se fait même un point d’honneur à ce que l’un soit le révélateur ou le témoin de l’autre.

Non, là aussi, rien ne sert de prier pour retenir les choses qui viennent du ciel, elles sont toutes les conséquences directes de la volonté divine.
Paul dans la lettre aux romains est clair à ce sujet : « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et contre toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive ».
Ce sont des religions païennes qui voyaient des dieux du tonnerre, et d’autres de la pluie. Comme s’il y avait un dieu de la fertilité, qui manifeste son approbation quand nos œuvres sont bonnes et un dieu des cataclysmes qui manifeste sa colère envers nous, lorsque nous péchons.
Et voir Satan nous lancer des éclairs…être impressionné par sa puissance,  c’est en faire un dieu aussi !
Non, Il n’y a qu’un seul Dieu, et d’ailleurs Élohim que l’on trouve plus de deux mille fois dans la Bible n’a-t-il pas le sens hébraïque de « Tonnerres » au pluriel ?

Encore un témoignage criant, que par la violence de la nature, Dieu crée.
Comment ?
Dieu détruit et rebâtit. Il est celui qui apporte le chaos et le renouveau.
Il détruit, puis reconstruit les temples de pierre comme les temples de chair.
Et notre « Dieu Tonnerres », Elohim, recréé naturellement un nouvel environnement, un nouveau paysage ; et spirituellement, c’est la même stratégie, il fait passer sa créature par 7 états, 7 tonnerres, qui vont le faire passer de l’état du jugement, c’est-à-dire, de la prise de conscience du péché, jusqu’à l’état mature, celui de la gloire partagée, (qui se fait en épousant totalement son créateur).

L’apôtre Paul dans son voyage vers Rome, a vécu les Tonnerres d’Elohim ou si on veut être plus précis, Elohim s’est incarné en lui par les tonnerres (Actes 27 jusqu’au milieu du chapitre 28 ; un long passage bourré de détails dans les descriptions mais pourquoi autant?).
Ce périple est une parfaite démonstration, pour attester de ce qui s’est passé dans l’expérience vécue, s’est aussi passé spirituellement.

Pendant son voyage Paul reçoit du Seigneur la certitude que la navigation va être très périlleuse pour tout le monde : le matériel et le navire, mais aussi : pour les hommes, mettant leur vie en péril; car des vents très violents vont s’abattre sur eux.
Or, le centenier et le maître d’équipage ne tiennent pas compte des recommandations de l’apôtre et ils se croient maître de leur destin, surtout que la côte est à portée de vue.

Si bien que le premier Tonnerre tombe et s’abat sur eux :
Le vent léger se transforme en violente tempête, une espèce de typhon même :
Premier jour : le navire part à la dérive, ce qui oblige l’équipage à se débarrasser au deuxième jour de toute la cargaison, puis dès le lendemain, au troisième jour, l’équipage se déleste de l’équipement du navire (cordages, voiles et matériaux d’amarrage).

Par conséquent, en trois jours leur projet de voyage est anéanti, détruit (exactement comme le temple est détruit par Jésus en 3 jours), ils sont dans l’obscurité la plus complète (« pendant plusieurs jours on ne voyait ni le soleil, ni les étoiles »), ils dérivent et ne contrôlent plus rien ; donc rien ne présage de bon ; ils n’ont plus leur destin entre leurs mains, et leur espérance de vie s’envole.

C’est alors, que Paul reprend la parole est annonce qu’il aurait fallu l’écouter, lui ; mais que maintenant, rien n’est terminé, car un ange de Dieu lui est apparu pendant la nuit et s’ils remettent leur sort entre ses mains c’est-à-dire entre les mains du Seigneur, ils seront tous sauvés, en échouant sur une île.
Le discours de Paul fait l’effet d’un deuxième tonnerre, comme celui d’une repentance.
Et le fruit de cela va être l’obligation, justement pour l’équipage, l’officier et ses soldats : de se débarrasser de la chaloupe de survie, Cet acte a un sens spirituel profond : c’est alors une confirmation de leur soumission à l’esprit divin qui anime Paul.

Ensuite, c’est au quatorzième jour, sur les conseils de Paul que leur jeûne cessa et qu’ils se remirent tous à manger.
Au verset 33,  nous lisons que le courage général est revenu. Paul ayant rompit le pain en rendant grâce devant tous, montre-là le symbole d’une communion juste entre tous, ils sont en parfait accord les uns avec les autres, Jésus-Christ est au milieu d’eux.
Ce troisième tonnerre (physique, comme spirituel) marque, en fait, l’abandon total en Dieu, confirmé par le quatrième tonnerre : le sacrifice ; puisqu’ils vont renoncer en abandonnant tout jusqu’à leur dernier moyen de survie (tous les sacs de blé furent jetés à la mer).

Ce périple effrayant, où tous auraient dû périr, comme Paul et ses compagnons aussi, rend une fois de plus le témoignage que c’est bien dans la tempête que Dieu agit ; et qu’il ne met pas ses enfants en sécurité sur la terre ferme ou au fond d’une cale, bien nourris, au chaud et loin du danger, mais bien au contraire, qu’il met ses enfants en première ligne, face au danger et qu’il agit avec eux.

Cinquième coup de tonnerre : le salut.

276 personnes furent sauvées au total ; et même les prisonniers échappèrent à une mort certaine grâce au cœur changé du commandant, qui n’écoutait plus ses instincts ou le capitaine du navire, mais qui maintenant s’en remettait à Paul. L’officier refusa d’exécuter les prisonniers et il les laissa regagner l’île à la nage (comme tous les membres du bateau d’ailleurs).
Lorsqu’ils virent la côte proche et le bateau se casser par l’arrière, tous rejoignirent la côte, immergés, baptisés dans cette mer comme pour confirmer leur repentance.

Mais cette expédition, va vivre encore un miracle en arrivant à terre sur l’île.  Pourquoi Dieu a-t-il permis qu’ils échouent sur une île à la réputation si hostile (l’île de Malte) ?

Eh bien, pour montrer que le sixième coup de tonnerre se fait dans l’adoption.
Les barbares qui l’habitaient, plutôt que d’éprouver de la cruauté et de la répulsion à leur égard vont avoir une réaction des plus surprenantes : ils vont avoir alors compassion d’eux, « une bienveillance peu commune » souligne l’écriture biblique. Ils vont les adopter, les accueillir comme leurs propres fils, autour d’un grand feu.

Et pour couronner le tout, le septième tonnerre grondera au milieu d’une atmosphère de miracles et de délivrances. 
Paul et ses compagnons démontreront la toute-puissance de Dieu à travers la Gloire du Père, sa réputation.
La réputation de Paul se développera de la manière suivante : Après le constat de sa bonne santé et de sa survie malgré la morsure d’un serpent vénéneux, puis après la guérison du père de Publius l’homme le plus important de l’île, par l’imposition des mains, Paul oint du Saint-Esprit sera à l’origine de la guérison de tous les malades de l’île, qu’on lui amènera ;
Et Publius dont le grec signifie « populaire », rendra populaire les œuvres du Saint-Esprit par Paul et ses compagnons. C’est lui qui propagera sa réputation, sa gloire.

Les disciples de Jésus-Christ repartiront, après trois mois, en direction de Rome sur un navire appelé : «  Les fils de Dieu ». (Comme si le Seigneur voulait encore apposé sa signature en témoignage des prodiges réalisés en mer et sur l’île de Malte)

Le bilan de tout cela : c’est que nous revenons, en fin de compte, au point de départ, au début du message :
«  Aimez vos ennemis…afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes ». (Matthieu 5 : 44)

Le fait que sur le navire, confronté à une situation extrême, chacun aura été bienveillant l’un envers l’autre et que chacun aura bénis son prochain même s’il est ennemi, a provoqué le salut plutôt que la perdition ; et les Maltais ont réagi de la même manière face aux naufragés… car notre Dieu a fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes.

Pourquoi ? Pourquoi leur faire vivre une telle situation à tous?

Pour que des justes amènent des injustes au soleil de la repentance ; pour que des bons amènent des méchants à genoux, le dos courbé et invoquant Dieu sur leur vie et qu’ils reçoivent une pluie de bénédiction.
Voilà la raison de ce verset : c’est que le Dieu du salut, Jésus-Christ, soit révélé encore une fois là où ne l’attend pas.

Voilà comment un peuple élu de Dieu vivra les tribulations.
Voilà comment sa réputation se fera connaître. Ce qui a été fait, c’est ce qui se fera encore! Et là je plagie l’Ecclésiaste.
Un peuple qui persévère dans la foi malgré le risque d’y perdre la vie, voilà ce que l’Esprit dit aux Eglises, voilà ce qu’il dit à celui qui vaincra… Il obtiendra un caillou blanc avec le nom grec Nikao gravé dessus : victorieux de la mort …la mort, c’est le dernier ennemi qui sera vaincu nous dit Paul, c’est le dernier ennemi que tout disciple aura à vaincre et qu’il vaincra.

Pour conclure : voilà concrètement décrit dans les voyages de Paul, comment l’ange puissant d’Apocalypse 10 est descendu du ciel et a fait entendre la voix des sept Tonnerres.

Mes frères et sœurs, soyons prêts, les 7 tonnerres grondent, ils n’ont pas fini de faire entendre leur voix.
Amen.

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