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Par Éric Ruiz
Ce lundi soir, après une journée de travail fatigante, je
laissais la Tv allumée et sur la 3, il y avait là une émission, une rediffusion :
« Le monde de Jamy » avec comme thème : « Quand notre météo
devient folle».
Et d’un seul coup, ça été plus fort que moi, il fallait que
j’ouvre mon ordinateur et que je crée un
« nouveau document Microsoft Word »…Voici la suite.
« Mais moi je
vous dis : Aimez vos ennemis…afin que vous soyez fils de votre Père qui
est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les
bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes ». (Matthieu
5 : 44)
L’orage
comme la foudre frappe n’importe quand, n’importe où et n’importe qui, tout
comme les ouragans, les inondations, les cataclysmes sismiques et bien-sûr
comme le feu et les incendies.
Ces
calamités naturelles semblent toucher, c’est vrai, le juste comme l’injuste, le
converti comme l’impie, personne n’y échappe.
Par
conséquent, et nous le constatons dans la vie de tous les jours, ce n’est pas à
ce moment-là qu’intervient la protection divine…. La providence divine agit le
plus souvent beaucoup plus tard.
Elle vient
sur les conséquences, dans les répercussions négatives, voire dans les effets
destructeurs et bien-sûr quand il n’y a plus aucun espoir de retour.
Donc,
prier Dieu de nous soustraire à de telles catastrophes est parfaitement inutile.
Prier Dieu
pour que nous soyons expédiés à un autre endroit, différent ou pour nous enlever
afin d’échapper à cette tribulation est vain et sera totalement sans effet.
Nous
devons quand l’orage gronde et que le ciel s’assombrît, priez davantage, oui,
certes ; mais surtout priez dans un autre sens, qui est, lui, très
particulier et étonnant.
Nous
devons à ce moment-là prier Jésus-Christ d’avoir le pouvoir d’aimer nos
ennemis ; de demander donc au Seigneur de briser nos cœurs pour bénir ceux
qui nous maudissent ;
« Seigneur
que je sois capable de prier avec un cœur sincère pour ceux qui me maltraitent
et me persécutent ».
C’est vrai,
ce n’est pas comme cela que nos religions nous ont enseigné, mais Jésus oint
par le Père nous l’enseigne de cette façon dans Matthieu 5 :44
« Aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous
persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père ». Pourquoi ?
« Car il fait pleuvoir sur les
justes et sur les injustes ».
Voyez-vous
la relation qui existe entre prier pour nos ennemis, d’un côté et échapper aux
malheurs terrestres de l’autre ?
Dieu nous
demande d’agir ainsi, en priant pour nos oppresseurs, afin de nous placer nous-mêmes
sous sa protection.
Il ne le
fera pas à notre place.
Nous
devons être des fils (héritier direct du Père) et sortir de l’enfance. C’est un
état de maturité.
Cet état,
seul, nous permettra (excusez-moi l’expression un peu facile) de passer à
travers les gouttes.
« soyez parfaits (téleios en grec, accompli, mature,
homme fait) comme votre Père céleste est parfait » c’est de cette
manière que se termine ce chapitre 5 de Matthieu.
Il n’est
pas dit que Dieu nous rendra parfait, accompli, il est dit que nous devons, nous,
et nous seul accomplir ce passage
vers la maturité.
Schadrac, Méschac et Abed-Nego, les 3 Judaïtes du livre de Daniel, lorsqu’ils
ont été mis tous les trois ensembles dans la fournaise, ont dû prier dans ce
sens, celui de bénir leurs ennemis.
Pourquoi ?
Parce
qu’en plus du résultat miraculeux d’y avoir réchappé sain et sauf, (sans aucune
brûlure ni odeur de feu sur leurs vêtements) leur bourreau, le roi
Nebucadnetsar impressionné par le prodige a décidé de louer et d’adorer le Dieu
des Hébreux.
Nebuccadnetsar
a vu à ce moment-là une quatrième personne, sans lien elle aussi, au milieu de
la fournaise, ressemblant par son visage rayonnant à un fils de Dieu.
Voilà le
témoignage : que le Père était bien avec eux, que ces trois Judaïtes
étaient bien oints, c’est lui (Christ, le Messie, le oint) qui a convaincu le
roi de Babylone de péché.
« La
pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont
jetés contre cette maison: elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée
sur le roc ».
Cette parabole bien connue de Jésus donne là aussi, un très
bon exemple d’un véritable chaos climatique survenant sur une habitation bénie,
fondée sur le roc.
Le roc, c’est notre habitation spirituelle, et notre matériau
inflammable, inondable, indestructible, j’en avais parlé avant déjà c’est 1 Pierre 2 :4
Ce roc, c’est notre « saint sacerdoce ».
Nous sommes devenus des pierres vivantes car
nous nous sommes offerts (corps, et âme) « comme
des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ ».
Là encore, nous avons été traités comme des
victimes devant des frères et sœurs oppressants, injustes, prêts à nous trahir
où à nous bannir de leur cercle d’amis. Nous n’avons pas essayé de rentrer en
guerre contre eux, de s’opposer à eux par la force ou par la ruse.
Nous sommes restés muets, face aux insultes
ou face aux paroles accusatrices ; conciliant et dociles comme des brebis
que l’on amène à la boucherie.
Loin de les juger, ni de les condamner, nos
prières pour eux sont parvenues à Dieu comme une agréable odeur de sacrifice
par Jésus-Christ.
Nous avons manifesté un état de maturité, un
état de fils de Dieu, en étant persécuté pour la justice ; calomnié, alors
que nous disions la vérité… Mais tout en recherchant la paix, jamais la
confrontation.
« Heureux ceux
qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu! » (Encore
Matthieu 5)
Malheureusement,
ceux qui auront la marque de la bête n’auront aucun bouclier divin protecteur.
Ils
moissonneront ce qu’ils ont semés.
Ils
tomberont à leur tour dans l’angoisse, l’oppression, l’asphyxie, ou la
persécution (6ème sceau de l’Apocalypse).
« C’est là qu’il y aura des pleurs et des
grincements de dents » et Jésus-Christ
dira : « Je ne sais pas
qui vous êtes, retirez-vous de moi vous qui commettez l’iniquité ».
Par contre
pour les vrais croyants, le sceau du Saint-Esprit les protégera de tous méfaits.
Apocalypse
9 :4 « Il leur fut dit de ne point faire de mal à l'herbe de la
terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui
n'avaient pas le sceau de Dieu sur le front ».
La foudre
qui touchera ceux qui ont « le sceau de Dieu sur le front » n’aura aucune conséquence
néfaste ; elle n’occasionnera aucun tourment, ni aucune plaie, ni aucune
affliction ou tristesse.
Jésus
prend l’exemple lui aussi de phénomène naturel imprévisible, pour expliquer
cette mise à part spirituelle.
« Jésus
leur dit: Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. Voici, je vous ai
donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la
puissance de l'ennemi; et rien ne pourra vous nuire. » (Luc 10 :18-19)
L’ennemi est bien là, dans le ciel ; il est là dans
les animaux hostiles et dangereux, dans les phénomènes naturels, mais sa
puissance ne crée aucune nuisance pour un disciple accompli.
Concrètement : on est sous une pluie de grêle, mais
nos récoltes ne sont pas détruites.
On est sous les éclairs mais la foudre tombant sur nous
n’occasionne aucun foudroiement.
On est sous le feu et les balles de l’ennemi, elles nous
touchent, mais ne nous transpercent pas.
Non, nous ne sommes pas dans un film de science-fiction,
c’est bien une réalité céleste vécue sur la terre.
Et c’est aussi cela : chassé les démons (Puisque le
contexte de Luc 10-18 suit le passage des disciples se réjouissants d’avoir
chassé les démons).
« L'Eternel
au-dessus d'eux apparaîtra, Et sa flèche partira comme l'éclair; Le Seigneur,
l'Eternel, sonnera de la trompette, Il s'avancera dans l'ouragan du midi ».
Zacharie 9 :14
Là aussi
la religion chrétienne a placé les forces du mal, comme Satan ou Lucifer au
beau milieu des cataclysmes naturels intervenant sur terre.
Satan, ou
un groupe de satanistes, serait donc responsable des dérèglements et des
catastrophes climatiques !?
Dès que le
feu descend du ciel ce serait obligatoirement une attaque du diable.
De quelle
nature alors, sont les 7 anges d’Apocalypse 8 qui sonnent de la
trompette ?
Quand le
premier ange sonna de la trompette, il y eut de la grêle et du feu mêlé de
sang.
Le
cinquième, lui quand il sonna de la trompette, c’est une étoile tomba du ciel
et il ouvrit, en plus, le puit de l’abîme.
Cela
parait inquiétant, c’est sûr, mais nous savons avec le verset 2 que ces sept
anges se tiennent devant Dieu ; ils sont donc à son service.
Comment
faire alors pour interpréter un verset (et il n’est pas le seul) où Dieu
lancerait lui-même la foudre et où il s’avancerait dans un ouragan (c’est ce
que nous dit Zacharie 9 :14) ?
Première
pirouette : y aurait-il deux types d’ouragans ? Les divins et les
malins ? Comment les reconnaître ? Sans doute devrait-on être averti,
d’abord, par un prophète, qui lui seul pourrait les identifier par un esprit de
connaissance ? Ce n’est pas sérieux, de penser ainsi, reconnaissons-le !
Deuxième pirouette :
l’autre pirouette facile, est de dire que cet ouragan-là (de Zacharie 9 :14) est à comprendre uniquement d’un
point de vue spirituel.
Qu’il est
facile de séparer le naturel du spirituel quand cela nous arrange !
Dieu
sépare bien-sûr les ténèbres de la lumière, mais il n’a jamais séparé le
naturel du spirituel ; il se fait même un point d’honneur à ce que l’un
soit le révélateur ou le témoin de l’autre.
Non, là
aussi, rien ne sert de prier pour retenir les choses qui viennent du ciel,
elles sont toutes les conséquences directes de la volonté divine.
Paul dans
la lettre aux romains est clair à ce sujet : « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et contre
toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive ».
Ce sont
des religions païennes qui voyaient des dieux du tonnerre, et d’autres de la
pluie. Comme s’il y avait un dieu de la fertilité, qui manifeste son approbation
quand nos œuvres sont bonnes et un dieu des cataclysmes qui manifeste sa colère
envers nous, lorsque nous péchons.
Et voir
Satan nous lancer des éclairs…être impressionné par sa puissance, c’est en faire un dieu aussi !
Non, Il
n’y a qu’un seul Dieu, et d’ailleurs Élohim que l’on trouve plus de deux mille
fois dans la Bible n’a-t-il pas le sens hébraïque de « Tonnerres » au
pluriel ?
Encore un
témoignage criant, que par la violence de la nature, Dieu crée.
Comment ?
Dieu
détruit et rebâtit. Il est celui qui apporte le chaos et le renouveau.
Il détruit,
puis reconstruit les temples de pierre comme les temples de chair.
Et notre
« Dieu Tonnerres », Elohim, recréé naturellement un nouvel
environnement, un nouveau paysage ; et spirituellement, c’est la même stratégie,
il fait passer sa créature par 7 états, 7 tonnerres, qui vont le faire passer
de l’état du jugement, c’est-à-dire, de la prise de conscience du péché,
jusqu’à l’état mature, celui de la gloire partagée, (qui se fait en épousant
totalement son créateur).
L’apôtre
Paul dans son voyage vers Rome, a vécu les Tonnerres d’Elohim ou si on veut
être plus précis, Elohim s’est incarné en lui par les tonnerres (Actes 27 jusqu’au milieu du chapitre
28 ; un long passage bourré de détails dans les descriptions mais
pourquoi autant?).
Ce périple
est une parfaite démonstration, pour attester de ce qui s’est passé dans
l’expérience vécue, s’est aussi passé spirituellement.
Pendant
son voyage Paul reçoit du Seigneur la certitude que la navigation va être très périlleuse
pour tout le monde : le matériel et le navire, mais aussi : pour les
hommes, mettant leur vie en péril; car des vents très violents vont s’abattre
sur eux.
Or, le
centenier et le maître d’équipage ne tiennent pas compte des recommandations de
l’apôtre et ils se croient maître de leur destin, surtout que la côte est à
portée de vue.
Si bien
que le premier Tonnerre tombe et s’abat sur eux :
Le vent
léger se transforme en violente tempête, une espèce de typhon même :
Premier
jour : le navire part à la dérive, ce qui oblige l’équipage à se
débarrasser au deuxième jour de toute la cargaison, puis dès le lendemain, au
troisième jour, l’équipage se déleste de l’équipement du navire (cordages,
voiles et matériaux d’amarrage).
Par
conséquent, en trois jours leur projet de voyage est anéanti, détruit (exactement
comme le temple est détruit par Jésus en 3 jours), ils sont dans l’obscurité la
plus complète (« pendant plusieurs
jours on ne voyait ni le soleil, ni les étoiles »), ils dérivent et ne
contrôlent plus rien ; donc rien ne présage de bon ; ils n’ont plus
leur destin entre leurs mains, et leur espérance de vie s’envole.
C’est
alors, que Paul reprend la parole est annonce qu’il aurait fallu l’écouter,
lui ; mais que maintenant, rien n’est terminé, car un ange de Dieu lui est
apparu pendant la nuit et s’ils remettent leur sort entre ses mains
c’est-à-dire entre les mains du Seigneur, ils seront tous sauvés, en échouant
sur une île.
Le
discours de Paul fait l’effet d’un deuxième tonnerre, comme celui d’une repentance.
Et le
fruit de cela va être l’obligation, justement pour l’équipage, l’officier et
ses soldats : de se débarrasser de la chaloupe de survie, Cet acte a un
sens spirituel profond : c’est alors une confirmation de leur soumission à
l’esprit divin qui anime Paul.
Ensuite, c’est
au quatorzième jour, sur les conseils de Paul que leur jeûne cessa et qu’ils se
remirent tous à manger.
Au verset
33, nous lisons que le courage général
est revenu. Paul ayant rompit le pain en rendant grâce devant tous, montre-là le
symbole d’une communion juste entre tous, ils sont en parfait accord les uns
avec les autres, Jésus-Christ est au milieu d’eux.
Ce
troisième tonnerre (physique,
comme spirituel) marque, en fait, l’abandon total en Dieu, confirmé par le
quatrième tonnerre : le sacrifice ; puisqu’ils vont renoncer en abandonnant
tout jusqu’à leur dernier moyen de survie (tous les sacs de blé furent
jetés à la mer).
Ce périple
effrayant, où tous auraient dû périr, comme Paul et ses compagnons aussi, rend
une fois de plus le témoignage que c’est bien dans la tempête que Dieu agit ; et
qu’il ne met pas ses enfants en sécurité sur la terre ferme ou au fond d’une
cale, bien nourris, au chaud et loin du danger, mais bien au contraire, qu’il
met ses enfants en première ligne, face au danger et qu’il agit avec eux.
Cinquième
coup de tonnerre :
le salut.
276
personnes furent sauvées au total ; et même les prisonniers échappèrent à
une mort certaine grâce au cœur changé du commandant, qui n’écoutait plus ses
instincts ou le capitaine du navire, mais qui maintenant s’en remettait à Paul.
L’officier refusa d’exécuter les prisonniers et il les laissa regagner l’île à
la nage (comme tous les membres du bateau d’ailleurs).
Lorsqu’ils
virent la côte proche et le bateau se casser par l’arrière, tous rejoignirent
la côte, immergés, baptisés dans cette mer comme pour confirmer leur
repentance.
Mais cette
expédition, va vivre encore un miracle en arrivant à terre sur l’île. Pourquoi Dieu a-t-il permis qu’ils échouent
sur une île à la réputation si hostile (l’île de Malte) ?
Eh bien, pour
montrer que le sixième coup de tonnerre se fait dans l’adoption.
Les
barbares qui l’habitaient, plutôt que d’éprouver de la cruauté et de la
répulsion à leur égard vont avoir une réaction des plus surprenantes : ils
vont avoir alors compassion d’eux, « une
bienveillance peu commune » souligne l’écriture biblique. Ils vont les
adopter, les accueillir comme leurs propres fils, autour d’un grand feu.
Et pour
couronner le tout, le septième tonnerre grondera au milieu d’une
atmosphère de miracles et de délivrances.
Paul et
ses compagnons démontreront la toute-puissance de Dieu à travers la Gloire du
Père, sa réputation.
La
réputation de Paul se développera de la manière suivante : Après le constat
de sa bonne santé et de sa survie malgré la morsure d’un serpent vénéneux, puis
après la guérison du père de Publius l’homme le plus important de l’île, par l’imposition
des mains, Paul oint du Saint-Esprit sera à l’origine de la guérison de tous
les malades de l’île, qu’on lui amènera ;
Et Publius
dont le grec signifie « populaire », rendra populaire les œuvres du
Saint-Esprit par Paul et ses compagnons. C’est lui qui propagera sa réputation,
sa gloire.
Les
disciples de Jésus-Christ repartiront, après trois mois, en direction de Rome
sur un navire appelé : « Les fils de Dieu ». (Comme si le
Seigneur voulait encore apposé sa signature en témoignage des prodiges réalisés
en mer et sur l’île de Malte)
Le bilan
de tout cela : c’est que nous revenons, en fin de compte, au point de
départ, au début du message :
« Aimez vos
ennemis…afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il
fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur
les justes et sur les injustes ». (Matthieu 5 : 44)
Le fait
que sur le navire, confronté à une situation extrême, chacun aura été
bienveillant l’un envers l’autre et que chacun aura bénis son prochain même
s’il est ennemi, a provoqué le salut plutôt que la perdition ; et les
Maltais ont réagi de la même manière face aux naufragés… car notre Dieu a fait
pleuvoir sur les justes et sur les injustes.
Pourquoi ?
Pourquoi leur faire vivre une telle situation à tous?
Pour que des justes amènent des
injustes au soleil de la repentance ; pour que des
bons amènent des méchants à genoux, le dos courbé et invoquant Dieu sur leur
vie et qu’ils reçoivent une pluie de bénédiction.
Voilà la
raison de ce verset : c’est que le Dieu du salut, Jésus-Christ, soit
révélé encore une fois là où ne l’attend pas.
Voilà
comment un peuple élu de Dieu vivra les tribulations.
Voilà
comment sa réputation se fera connaître. Ce qui a été fait, c’est ce qui
se fera encore! Et là je plagie l’Ecclésiaste.
Un peuple
qui persévère dans la foi malgré le risque d’y perdre la vie, voilà ce que
l’Esprit dit aux Eglises, voilà ce qu’il dit à celui qui vaincra… Il obtiendra
un caillou blanc avec le nom grec Nikao gravé
dessus : victorieux de la mort …la mort, c’est le dernier ennemi
qui sera vaincu nous dit Paul, c’est le dernier ennemi que tout disciple aura à
vaincre et qu’il vaincra.
Pour
conclure : voilà concrètement décrit dans les voyages de Paul, comment
l’ange puissant d’Apocalypse 10 est descendu du ciel et a fait entendre la voix
des sept Tonnerres.
Mes frères et sœurs, soyons
prêts, les 7 tonnerres grondent, ils n’ont pas fini de faire entendre leur voix.
Amen.
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