dimanche 8 avril 2018

JÉSUS N’EST PAS LA LUMIÈRE DU MONDE…


219
Par Éric Ruiz

Non, je ne blasphème pas. Mais allez jusqu’au bout de ce message.
Il y a une profondeur méconnue.

Lors de mon dernier message sur Lucifer, un auditeur, a répondu que ma version concernant ce que Jésus a dit et n’a pas dit sur la lumière est erronée Voilà ce que j’ai annoncé: ''Jésus n’a pas dit : « JE suis la lumière ! Non, il a dit : VOUS êtes la lumière du monde. »
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En bien, cet auditeur dit que cette interprétation est fausse puisque Jésus a dit les deux.
Et il a pris bien-sûr
Jean 8:12 pour confirmer ses dires :

''Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.''

Alors c’est vrai, que ce verset semble clairement contredire mon propos sur la lumière…mais à première vue.
Car malgré les apparences, je ne le crois pas.
Je crois au contraire qu’il y a même une profondeur qui doit être révélée.
Pourquoi ?

D’abord, parce que là aussi, comme toujours, le contexte est à prendre en considération.
Le contexte est le suivant :
Jésus vient au préalable de délivrer d’une lapidation certaine, une femme surprise en délit d’adultère.
Et la position des pharisiens est très rusée : Ils posent une question à Jésus sur la loi de Moïse, mais pas dans l’intention de se remettre en cause, eux, pas du tout, dans une intention très différente. On lit au verset 6 : «  Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser ».
Cette intention est essentielle pour bien comprendre la suite des relations entre les accusateurs de Jésus et Jésus lui-même.
Souvenons-nous que Jésus dit à ses disciples d’être : « prudents comme des serpents et simple comme des colombes ».
Et là dans cette situation c’est ce qu’il montre : Une prudence mêlée de sagesse et de simplicité
A quoi le voyons-nous ?
Au verset 12 que j’ai lu en premier : car il dit «  je suis la lumière du monde ».
Jésus savait que par cette affirmation brute, il allait déclencher une réaction immédiate des pharisiens.
Ne l’oublions pas, il est assis dans le Temple (pas debout, je précise que ce détail n’en est pas un, il a du sens) et il enseigne.
Et il fait lui-aussi cette révélation (quand il dit, « je suis la lumière du monde ») pour les éprouver, mais pas pour les accuser, mais au contraire, afin qu’eux l’accuse.
Cela n’a pas manqué, Ils ont rétorqué aussitôt : (verset 13) « Tu rends témoignage de toi-même; ton témoignage n'est pas vrai ».
Jésus n’avait pas tout dit en s’affirmant être la lumière du monde.
Bien-sûr que cela contredit la loi et que ce n’est pas juste de se proclamer ainsi ! (et pourtant curieusement, de cette manière, Jésus va rendre la justice)

Il n’est pas la lumière du monde, c’est vrai… sauf s’il remplit certaines conditions.
Or la loi demande que toute affaire soit élucidée sur la déclaration d’un ou de plusieurs témoins (Deutéronome 19 :15).
Et Jésus les place en face de leur aveuglement.
Il leur montre qu’il n’ont vu qu’une personne en lui alors qu’il n’est pas seul.

« Je rends témoignage de moi-même, et le Père qui m'a envoyé rend témoignage de moi » (verset 18)

Les religieux légalistes se dévoilent par leur ignorance des choses célestes. Ils ne voient pas Jésus et son Père unit ensemble. Ils ne voient pas le oint, l’envoyé de Dieu. Ils voient l’homme, le fils du charpentier. Ils voient en lui ce qu’ils sont : des imposteurs.
Ils jugent à l’apparence.

« Vous ne connaissez ni moi, ni mon Père. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père » (verset 19).

Donc Jésus de Nazareth  n'est pas la lumière; il est la lumière AVEC son Père uniquement, car tous deux réunis rendent témoignage que la lumière existe. « Et si je juge, mon jugement est vrai, car je ne suis pas seul » (verset 16)

Jean le Baptiste (nous lisons cela dans les premières lignes du premier chapitre de l’Evangile de Jean), ne portait aucune lumière, il rendait témoignage à la lumière. « Il n’était pas la lumière, mais il fut envoyé pour rendre témoignage à la lumière ».
Lorsque l’Esprit descendit sur Jésus comme une colombe lors de son baptême d’eau, Jean et la voix du Père rendirent témoignage de la lumière.
C’est encore bien l’esprit qui descend sur une personne, associé au témoin d’une autre personne qui montre la lumière.

Donc, il faut être au moins deux pour rendre témoignage que la lumière est en nous. Or ces pharisiens montrent qu’ils sont des porteurs de lumière, car ils se jugent aveugles, « vous jugez selon la chair » dit Jésus.
Sans l’esprit, ils sont TOUT SEUL et en cela leur jugement montre qu’ils sont des LUCIFER.
Alors Jésus n'est pas venu montrer sa lumière, mais celle de son Père à travers les œuvres qu'il fait en lui.
C’est très différent ; et cela peut paraître au premier abord tatillons, tortueux, comme si on jouait sur les mots, mais il y a une profondeur que les pharisiens n'ont pas saisi, eux, qui en s'autoproclamant inspirés et juges, portent une fausse lumière.

Jésus n’a pas menti, il a donné simplement une explication succincte au départ pour révéler les accusateurs des frères. Eux n’ont d’ailleurs pas compris ce que Jésus disait.
Jésus cherchait-il à les convaincre ?
Pas du tout, Jésus voulait que lui et son Père éclairent leur aveuglement.

Et aujourd’hui, les choses ont-elles changées ?

Jésus n’est plus là, c’est vrai, mais il est ressuscité.
Et sa lumière se voit.
Comment ?
En montrant encore les accusateurs, les imposteurs qui ne peuvent s’empêcher de juger.
La lumière montre ceux qui ne connaissent pas le Père.

Mais alors qui sont les vrais illuminés ?
Matthieu 5:14
''Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée »

Jésus illustre son affirmation en prenant l’exemple d’une ville.
Il aurait pu prendre celui d’une simple habitation ou d’un temple, mais non il préfère la ville.
Pourquoi ?
Pour montrer que les pierres vivantes sont là… là où deux ou trois sont assemblées en son nom, et qu’ils vivent en accord avec son Père au milieu d’eux.
Et que la somme de toutes ces pierres vivantes formera plus qu’un simple édifice, une ville entière.
1 Pierre 2 :4 : « Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu; et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ ».

Une maison spirituelle, c’est donc des pierres vivantes rejetées par les hommes, et dont le sacrifice permet la lumière.
Les maisons spirituelles formant cette ville, c’est donc le Père, les fils et le Saint-Esprit unit ensemble.
Il y a une chanson d’une comédie musicale que j’ai écouté comme beaucoup de croyants je pense et dont le refrain dit : « La bonne Nouvelle c’est lui, la bonne nouvelle c’est nous ».
Et moi, à chaque fois que je reprenais le refrain, je le chantais autrement.
Voilà ce qui me venait spontanément à l’esprit:
« La bonne nouvelle c’est lui, la bonne nouvelle c’est LUI en NOUS ».

Jésus-Christ, le Saint-Esprit et le Père ensemble sont venus dire que la lumière était maintenant sur un peuple, une ville et non sur un seul fils.
Le Père est venu rassemblés ses Fils, il est venu les adopter. La Bonne Nouvelle c’est le Père au milieu de ses Fils. C’est cette nouvelle ville remplit de sa lumière : La nouvelle Jérusalem.
Jésus n’est pas venu montrer sa lumière je le répète, il est venu montrer la nouvelle Jérusalem, qui est cette nouvelle lumière.

Lisons Apocalypse 22 :21-24
« Je ne vis point de temple dans la ville; car le Seigneur Dieu tout-puissant est son temple, ainsi que l'agneau. La ville n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer; car la gloire de Dieu l'éclaire, et l'agneau est son flambeau. Les nations marcheront à sa lumière ».

L’aboutissement, l’Omega est décrit parfaitement dans ce passage. La ville s’éclaire d’elle-même.
Comment ?
Par la gloire Père bien-sûr mais aussi par son flambeau : l’agneau.

De quel agneau parle-t-on?
Est-ce de Jésus-Christ le Fils de Dieu unique, l’agneau immolé ?

Pas seulement. Tous ceux qui ont immolé leur chair, qui ont été comme le dit Pierre, « des victimes spirituelles agréable à Dieu, par Jésus-Christ ». Tous ceux qui auront été un animal de sacrifice forment le fils, l’agneau.
C’est eux qui éclaireront les nations, pour qu’elles marchent à leur lumière.
La gloire du Père, son flambeau c’est aussi l’agneau.
Donc Tout est agneau (gloire du père, flambeau) et Tout s’épouse parfaitement dans cette ville.
Et tout doit se faire comme au départ.
« Au commencement Elohim créa les cieux et la terre ».
Elohim : Le Père, et ses fils créèrent ensemble les cieux et la terre.

Si on cherche d’autres indices, de la lumière, la loi mosaïque donne des indices très précis elle-aussi sur ce rayonnement.
Examinons le Tabernacle.
Le chandelier à 7 branches devait éclairer le lieu saint jour et nuit.
Le chandelier c’est le mot hébreu "ménorah" qui contient la racine "ner" et qui signifie aussi bien feu que lumière: la ménorah serait donc un arbre de feu et de lumière. Le feu sert à brûler dans le sens aussi de purifier, de nettoyer un endroit.

La lumière possède donc cette fonction purificatrice en dévoilant ce qui doit être brûlée (n’est-ce pas ce que Jésus fait en dévoilant qui sont les accusateurs dans Jean 8 ?).
Ceci dit, la mérorah n’était pas placée seule, dans une pièce isolée.

Le chandelier éclairait une pièce… où se trouvait quoi ?
S’y trouvait-il un pain plus gros que les autres sur une table plus haute ou plus basse que l’Arche de l’alliance, faite d’un bois différent ?

Non, il y avait une table de la même hauteur que l’Arche, de la même consistance aussi, faisant référence à l’or et au bois d’acacia, Deux matériaux propre au divin. Et les 12 mêmes pains de propositions, sur cette table royale, étaient identiques, absolument uniformes.
Le chandelier éclairait en étant proche de lui, le symbole le plus ressemblant à la communion fraternelle, repris par Jésus lors du repas pascal.

C’est aussi dans cette pièce, que l’odeur la plus agréable au Seigneur se trouvait, puisque l’autel d’or ou l’autel des parfums faisait brûlées les cendres encore chaudes ou les braises des sacrifices de chaque matin.
Nous avons là, rassemblé, tout ce qui contribue à manifester la lumière (1-la relation juste entre croyants, 2-leur sacrifice, 3-la lumière éclairant ce qui doit être brûlée).
Donc, force est de constater, encore, que Dieu et sa lumière se forment au milieu d’un peuple soumis les uns aux autres, sacrifiant chaque jour, tout ce qui n’est pas de l’esprit mais du vieil homme.

Alors curieusement, s’est vrai, j’ai amené un message sur Lucifer au moment de la fête de Pâques.
Est-ce un blasphème, un manque de respect vis-à-vis du Fils de Dieu ressuscité ?
Eh bien je crois que c’est le plus bel hommage que l’on puisse lui rende à la Pâques.
Cette fête célèbre une victoire, comme celle de la sortie d’un peuple d’Egypte, un peuple libéré de ses chaînes et de ses oppresseurs. En montrant les Lucifer, en montrant les oppresseurs, on se libère de leurs chaînes. 
Jésus, pour en revenir à son enseignement sur la lumière… dans le temple, ne faisait-il pas la même chose ?
Il dévoilait les faux adorateurs, les accusateurs et il libérait ceux qui étaient sous l’idolâtrie et le contrôle de leurs chefs pharisiens. Il montrait ceux qui mangeaient des pains remplis de levain. Ce levain qui rappelons-le montre l’adoration de la chair (l’hypocrisie et l’orgueil faisant monté l’estime de soi comme le levain fait monté la pâte).

Alors c’est vrai que Jésus aurait dû dire : « Mon Père et moi, nous sommes la lumière du monde », de la même manière qu’il a dit « celui qui m’a vu a vu le Père , ou […] que celui qui me voit , voit celui qui m’a envoyé» (et on lit cela toujours dans l’Evangile de Jean.

Mais, alors pourquoi cette omission, cette apparente omission?

Eh bien sans cette erreur, nous aurions fait l’impasse de la fonction principale du Fils de Dieu. Il est « venu dans ce monde pour exercer un jugement » (Jean 9 :39). Et ceux qui sont oints viennent aussi pour exercer un jugement.
Et ce jugement va même dans des actes à priori dénués d’importance. Jésus dans ses non-dits, ou ses approximations, faisait la volonté du Père et rendait sa justice.

Au verset 6 on lit que « Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre ».
Même là il faisait la volonté de son Père.
Il attendait quoi exactement de lui?
Beaucoup de choses ont été dites sur ce que Jésus écrivait, mais…
Il patientait tout simplement, comme on peut le faire nous-mêmes en attendant que des idées viennent.
Lui, il attendait que son Père lui inspire des mots justes, au moment où il l’aura décidé, lorsqu’il jugera le moment opportun.
Et c’est ce qui arriva : « Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle ».

L’Evangile de Jean est vraiment un Evangile de base, car c’est l’Evangile du Jugement. Oui c’est aussi l’Evangile de l’amour. Mais l’amour de Dieu se manifeste d’abord dans le jugement (Genèse verset 4 : Dieu sépara la lumière des ténèbres). Cet Evangile répond à deux questions fondamentales, et dès les premiers versets :
1- Qui témoigne de la lumière ? et 2- De quoi la lumière témoigne-t-elle ?

Maintenant, si vous vous trouvez dans des situations analogues à celles de Jésus, des circonstances qui vous ont semblées frustrantes ou déstabilisantes, ne regardez pas vos manques apparents, car ils peuvent être guidés par l’esprit du Père qui vit en vous.

Sa gloire nous suffit et la puissance du Père s’accomplit dans la faiblesse.

Tout sert à la gloire de Dieu, même nos apparentes erreurs,  nos oublis, nos hésitations, nos bafouillages, nos actes manqués, nos moments de fatigue ou de lassitude, jusqu’à nos infirmités mêmes.
C’est pourquoi Dieu se complaît avec un peuple humble et soumis, car ce peuple ne regardera pas ses faiblesses comme des échecs, mais comme la manifestation visible de la volonté de Dieu, de Christ en nous. 
L’apôtre Paul témoignait de cela devant l’Eglise des Corinthiens :

« C'est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les calamités, dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ; car, quand je suis faible, c'est alors que je suis fort ».

Revenons à la lumière :
Jésus et le Père forment ensemble la lumière, ils sont Jésus-Christ  (je n’avais jusqu’ici pas réaliser la puissance et la profondeur du nom de Jésus-Christ).
Mais aujourd’hui je comprends pourquoi Jésus, employé seul n’est pas juste et qu’il manque un rajout qui n’est pas un détail.
Il faut le témoignage du Père le oint, Yeshoua el Mashia en hébreu, traduit par Jésus le Messie en français. (Et Qui a oint Jésus sinon le Père ?)
Christ n’est pas un titre ou une fonction, c’est le plus haut témoignage qui soit, celui du Père, et il se voit surtout dans le jugement qu’il apporte.
Sans le verset 33 du premier chapitre de Jean , Jésus n’aurait jamais été Christ ; et le jugement sur terre n’aurait jamais existé. « celui qui m'a envoyé baptiser d'eau, celui-là m'a dit: Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et s'arrêter, c'est celui qui baptise du Saint-Esprit » (Jean 1 :33).
Si nous sommes baptisés du Saint-Esprit c’est uniquement parce que  Jean a vu la confirmation de ce qu’il a reçu du Père se réaliser : Jésus, a été baptisé d’esprit avant nous, pour le faire sur nous ensuite. Sa naissance, aussi pur qu’elle soit, sans ce moment spécial d’onction n’aurait servi à rien.

Passons maintenant au témoignage de Jésus-Christ.
Il montre paradoxalement la même étoile que Lucifer. Il montre l’étoile du berger, l’étoile brillante du matin.

Donc, Jésus, en affirmant dans Apocalypse 22 : « Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin », Jésus montre par cette étoile où se trouve sa postérité, où se trouve la postérité des Christ, des oints, des Messies (c’est le même mot tout ça). Sa postérité serait-elle semblable alors à Vénus ? à cette étoile en apparence si maléfique ?
Car c’est ce qu’elle démontre (cette étoile) aujourd’hui dans toutes ses caractéristiques, un caractère de Lucifer.
  
Mais, attention toutefois, Jésus n’est-il pas le Dieu de la reconstruction, de la restauration, du relèvement, du rétablissement et de la résurrection. N’a-t-il pas affirmé être la résurrection et la vie ?
Ce qui est mort, déchue en apparence va renaître de ses cendres.

Colossiens 1 :20 « Jésus-Christ a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix ».
Vénus comme l’homme changera d’état. Dieu réconciliera avec lui ce qui est dans les cieux.

Les scientifiques ne s’expliquent pas d’ailleurs comment cette planète semblable à la terre soit devenue comme un brasier invivable alors qu’elle devait être un petit paradis.
Apocalypse 2 :26
« A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres… je lui donnerai l'étoile du matin ».

Jésus-Christ nous dit d’abord clairement que celui qui persévérera aura une postérité comme la sienne.

Ensuite cette postérité c’est Vénus, l’Etoile du matin. Nous avons une bonne étoile. Et l’étoile du berger celle qui brille le plus dans le ciel, doit, elle aussi, manifester sa vraie nature et joindre à elle, ceux qui sont de sa nature.

Voilà… Je prie que notre Seigneur exerce sur chacun d’entre nous, son jugement, sa lumière, pour que nous brûlions ce qui n’est pas de sa nature. Enfin je prie que son jugement se voit de plus en plus à travers l’onction du Père qui se manifeste sur ses élus et avec ses élus.
Amen.

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