dimanche 11 juin 2017

UNIONS, FRÉQUENTATIONS & MARIAGE CHEZ LE CROYANT

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Par Eric Ruiz

Une musulmane convertie à Jésus depuis peu, me posait cette semaine la question suivante:
"Je voudrais connaître votre point de vue concernant les couples et concernant le mariage. Doit-on uniquement être avec un chrétien ? Bien évidemment je sais que le concubinage est déconseillé, mais comment faire si moi je veux attendre le mariage et que la personne qui n'est pas chrétienne a, elle, du mal à tenir jusqu'au mariage ? 

Pour répondre à toutes ces questions pertinentes : une première réponse globale s'impose à l'évidence : 

• TOUT EST UNE QUESTION DE FOI

Et c'est à soi-même de juger de son propre niveau de foi. 
Matthieu 17:20 :
" Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d'ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible."

La foi repose sur la confiance en Dieu.
Si nous avons une confiance totale, nous savons assurément que Dieu répondra à nos besoins et qu'il a même déjà préparé les choses nous concernant par avance.
Nous avons même confiance que nos prières viennent de lui et quelles sont exaucées parce qu'elles viennent justement de lui.
En bref, nos prières sont exaucées parce qu'elles sont exauçables.

Le grain de sénevé est un grain de moutarde très petit, de l'ordre d'un millimètre.
Jésus n'avait pas pris cet exemple au hasard.
C'est donc une petite confiance en lui que notre Dieu nous demande quand il nous dit de s'abandonner totalement à lui. Ce n'est pas quelque chose d'impossible loin de là.
Mais notre confiance est toujours reliée à notre amour. Un manque de foi décèle un manque d'amour.
Et j'en reviens toujours à la même chose : avant Jésus, il y a Jean Baptiste ; avant l'Esprit il y a la repentance ; comme avant le baptême d'Esprit il y a le baptême de repentance.(j'approfondirais ces choses dans mon prochain message.)

Pour en venir à nos fréquentations, et à la question : Qui est mon âme sœur? 
Ou au sens large: Quels sont les frères et sœurs que nous devons fréquenter ? 

• LES LIENS INIQUES DES ÉGLISES 

Tout d'abord mettons fin aux liens iniques des Eglises.
Le système religieux (et là j'englobe toutes formes d'Eglises-institution) fonctionne en vase clos et considère qu'un chrétien doit épouser ou fréquenter en priorité un autre chrétien comme un juif épousait un autre juif sous l'ancienne alliance. 

Toute autre union est considérée comme étant un sacrilège, une relation illicite et une infidélité aux commandements.
Les païens avec les païens, les juifs avec les juifs et les chrétiens avec les Chrétiens ! (et moi je rajoute et les vaches seront bien gardées !)
Voilà ce qui est enseigné et contrôlé par nos institutions. Et cela va même parfois plus loin lorsque certains considèrent que tous ceux qui ne sont pas de leur religion sont anathèmes, car ils n'ont pas embrassé la même foi que la leur.(un catholique ne s'assemble pas avec un protestant); Donc ils se rejettent souvent mutuellement et se considèrent comme des païens.
Cela va encore plus loin quand l'élite de l'Eglise considère comme hérétique toute cérémonie d'union ne passant pas par sa bénédiction, sans omettre bien-sûr les mariages arrangés, décidés à l'avance etc.)

Mes frères et sœurs, brisons définitivement ces chaînes diaboliques d'une loi qui est faite dans le but de manipuler pour grossir le nombre de membres des Eglises et d'enrichir une institution ou le maître de cérémonie.

Question: 
Pourquoi y a-t-il tant d'exceptions, dans la Bible alors?

• Y A-T-IL DES ERREURS DE PARCOURS ?

  • Est-ce une erreur de parcours pour Joseph, fils de Jacob d'avoir pris pour femme l'Égyptienne, Asenath fille de Potiphérah ?
Ses Fils Manassé et Ephraïm sont-ils illégitimes pour autant?
Ont-ils été privés d'héritage ?
Les tribus de Manassé et celle de Joseph font pourtant partie des 144.000, de ceux qui avaient été marqués du sceau d’Apocalypse 7 :4
  • Que fait-on de la fille de Jacob et de Léa, Dina, qui fut séduite par l'infâme prince Sishem Fils d'Hamor?
A-t-elle été excommuniée, ou mise à mort?
Bien au contraire elle a été protégée par ses frères et elle a retrouvé un héritage familiale (je vous renvoie au message : la maison d'Israël)
  • Et Esther, la reine Esther: pourquoi s'est-elle laissée séduire par le roi Persan Assuérus ? 
Et Mardochée, lui, son proche parent, juif : pourquoi l'a-t-il proposée comme concubine ?

Voyez-vous, toutes ces exceptions et bien d'autres, sont tenues souvent secrètes et elles sont taboues dans les Églises, qui préfèrent fonctionner comme des sectes, excluant tous membres étrangers (appelés de tous noms, les inconvertis, les non-baptisés, les goym, les non-pratiquants, les rétrogrades, les sectaires...).

• ESTHER : DÉSOBÉISSANTE À LA LOI ?

Revenons à Esther, en captivité avec les juifs ; elle ne refuse pas les faveurs du roi, pire elle fait tout pour qu'il la prenne comme favorite. Il finira d'ailleurs (le roi)  par l'Epouser et placera la couronne royale sur sa tête.
Loin de son pays d'origine la voilà, Esther, catapultée à la tête d’un continent immense et puissant, celui de l'empire Perse.
Esther a-t-elle obéi à Yahvé ou bien s'est-elle prostituée au Dieu d'Assuérus?
A-t-elle renié sa foi juive et ses origines en devenant reine persane?

Eh bien non elle n'a pas renié sa foi et oui, contrairement aux apparences, elle a obéi à Yahvé ; et Mardochée aussi en cachant l'identité juive d'Esther ; Aussi bizarre que cela paraisse.

Si Esther n'avait pas obtenu les faveurs du roi, jamais son peuple en captivité n'aurait pu être sauvé.
Son apparente trahison filiale a permis, (sans que personne ne le sache au départ) de contrecarrer les plans d'Haman, le ministre du roi, qui avait réussi sournoisement à créer un décret royal exterminant tous les juifs.

Alors, n’ayons pas peur de la question : la survie du peuple juif aurait-elle été obtenue grâce à une désobéissance de la loi?

Cette histoire est riche en leçons et en connaissances. 

Notre Seigneur nous montre avant tout que c'est lui et lui seul qui dirige.
C'est lui qui inspire Mardochée, et c'est lui qui inspire Esther.
Tout est sous son contrôle. 
Même le roi de Perse, un incirconcis,  qui plus est : ennemi des juifs en les gardant en captivité, est un personnage attachant et bizarrement l'auteur du livre d'Esther n'a jamais fait mention de sa foi ; pourquoi ?
Sans doute pour insister davantage sur ses actions de justice et de cœur qui montrent en fait, QUI, il vénère le plus.
Paul le disait bien dans Romains:2-25 :
"Si donc l'incirconcis observe les ordonnances de la loi, son incirconcision ne sera-t-elle pas tenue pour circoncision ?

Donc l'incirconcis qui observe la loi par la foi devient circoncis et il accomplit tous les plans divins.
C'est l'exception qui confirme la règle !
Non pas du tout, nous ne sommes pas dans l'exception qui confirme la règle
Mais plutôt dans la règle qui confirme l'exception ou devrais-je dire : la règle qui confirme les exceptions; réfléchissez bien et lisez bien votre Bible, Dieu aime les exceptions et les montre pour que l'on s'en inspire.

Esther et Mardochée étaient, eux exceptionnels, car ils étaient remplis d'amour et de justice dans leurs actions.
Ce qu'ils manifestaient montraient un vrai attachement aux principes divins de Yahvé. 

La loi n'était-elle pas davantage inscrite dans l'amour que dans l'usage des rites?

Lorsque survint le décret d'extermination du peuple, il n’est pas dit qu’Esther et Mardochée sont partis sacrifier un animal sur l’autel, mais ils étaient tous deux prêts à sacrifier leur vie pour la survie de leur peuple.
C'est pourquoi ils ont été inspirés dans leur choix à faire le bien.
Par leurs actions insolites, notre Dieu voulait montrer aussi que les sacrifices d'amour vallent mille fois plus que tous les sacrifices rituels et les holocaustes réunis.
Quand le prophète Esaïe affirme qu'il ne rentrera rien d'impur ni d'incirconcis à Jérusalem, il montre la triste réalité : celle de la loi, qui a été plus appliquée par les rites que par le cœur.
Il montre alors qu'il y a plus d'incirconcis que de vrais circoncis parmi son peuple.

Si bien que la loi cachée dans la loi n'est-elle pas un cœur circoncis plutôt qu'une chair circoncise?

Là aussi tout est une affaire de cœur et non d'application de principes obligatoires.

• LE CŒUR A SES RAISONS COMME DIEU A LES SIENNES.

Et nous aujourd'hui ?
Si notre cœur brûle pour quelqu'un, que doit-on faire ?
Le rejeter s'il est païen, le forcer à adhérer à notre foi?
Le soumettre à une épreuve?
Comment devons-nous interpréter la loi Mosaïque suivante?

"Vous traiterez l'étranger en séjour parmi vous comme un indigène du milieu de vous; vous l'aimerez comme vous-mêmes, car vous avez été étrangers dans le pays d'Egypte. Je suis l'Eternel, votre Dieu." Lévitique 19:34

On ne vous le dira sans doute jamais dans une enceinte religieuse, comme dans beaucoup de famille de croyants, mais si votre cœur s'enflamme, même pour un "étranger", c'est sans doute que le Seigneur y est pour quelque chose.
Et là je dirais peu importe, son pays, sa religion, sa couleur de peau, son origine ethnique ou sociale. 
Je reprendrais juste la citation de Blaise Pascal: "Le cœur (Comme celui de notre Dieu) a ses raisons que notre raison ne connaît pas ".
Le plus important est de rester ouvert à toute éventualité venant du Seigneur. N'est-ce pas lui qui circoncit les cœurs?
N'est-ce pas lui qui profite de la captivité de ses enfants pour les lier d'amour avec des étrangers ?

• LE SACRIFICE D'AMOUR.

Mais toutefois, il est bon d'ajouter à cette relation un sacrifice. 
Pourquoi ?
Parce que Yahvé dès le départ à mis l'autel des sacrifices à l'entrée du tabernacle.
Il insistait déjà sur le sacrifice avant de le connaître lui-même, avant d'entrer dans son temple.
Or, si ce sacrifice fait échouer la relation c'est que le lien qui se rompt n'était déjà pas très solide au départ.
La corde qui unissait les deux cœurs n'avait qu'un seul lien. Et c'est pour cette raison qu'au moindre effort, qu'à la moindre tension, elle n'a pu résister.
Alors ici, de quelle nature est le sacrifice ?
Si un amour ne peut résister à quelques mois d'abstinence sexuelle et à des jours de séparation c'est qu'il n'est pas très crédible.
Vous voyez, il faut trois liens pour qu'une corde soit solide. Un lien de temps, un lien d'abstinence et un lien de séparation.

Ce sont ces liens-là qu'Esther a renforcé avec Assuérus.

1. Une abstinence
2. et un temps de préparation d'un an,
3. des séparations fréquentes et répétées (Esther ne rendait visite à Assuérus qu'uniquement le soir et le lendemain matin ; elle ne passait ni la nuit, ni l’après-midi avec lui).

Regardons à ce que notre Seigneur nous promet. Il nous promet des noces, un repas festif, une cérémonie divine.
Mais il souhaite une fiancée préparée et prête. Il se donne et il nous donne du temps. 

• ÉPREUVE ou PRÉPARATION ?

Est-ce pour nous mettre à l'épreuve ? Est-ce pour mesurer notre foi? Est-ce pour mieux nous juger ?
Je ne crois pas.
Cela ne ressemble pas à son caractère.

Prenons encore exemple sur l'histoire d'Esther.   
Le roi Assuérus était un roi bon, généreux et juste, tenant en horreur la trahison. Il s'entourait de personnes loyales et compétentes dont les avis guidaient ses choix. Il aimait faire confiance, mais punissait sévèrement le traître.
Ce qui est surprenant d'ailleurs, c'est bien qu'étranger, pour les juifs, Il manifestait à bien des égards les préceptes de la loi de Moïse.
Il avait un cœur qui plaît à nôtre Seigneur, il avait un cœur circoncis. 

Alors revenons à la question de la mise à l'épreuve ou non du temps.

Pour gagner la confiance et l'amour du roi, Esther a mis "douze mois à s'acquitter de ce qui est prescrit aux femmes". (Esther 2:12) 
Pendant ce temps "elle a pris soin de sa toilette, six mois avec de l'huile de myrrhe et six mois avec des aromates et des parfums". 
Tout ce temps a servi bien-sûr, à rendre Esther encore plus séduisante, plus aimante, plus attentionnée.
Mais il y a plus derrière cette coutume à première vue païenne, (mais qui ressemble tellement aux coutumes hébraïques) il y a plus derrière l'usage répété de toilette et de parfums.
Il y a une préparation profonde. Il y a un sacrifice de bonne odeur pour son futur Époux céleste avant tout. 
Tout comme au travers de l'odeur de l'autel des parfums du tabernacle, il émanait une odeur de sacrifice agréable ; cette odeur parfumée  de myrrhe c'est l'odeur du pardon, de la repentance, de la compassion, de la bienveillance, de la générosité, bref c’est l’odeur de l'amour divin agapéo.
Ce n'était par conséquent pas une mise à l'épreuve mais bien une préparation.

• LA PRÉPARATION DU COEUR 

Pour nous disciple ou fiancé(e), c'est la même chose.
Ce temps de préparation est important pour que notre cœur s'affermisse ; Que notre amour s'enflamme davantage, que notre engagement soit encore plus profond, que nous soupirions après notre futur Époux.

Dans le Cantique des cantiques, la fiancée est sur le qui vive, en état d’alerte maximum :
"C'est ici la voix de mon bien-aimé; le voici qui vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux."..."Mon bien-aimé a avancé sa main par le trou de la porte, et mes entrailles se sont émues pour lui."

Vous voyez, Il y a un empressement, un cœur qui s'accélère à l'approche des noces. L'intensité des sentiments monte de plus en plus, tout comme le voile de la future épouse qui se lève progressivement et laisse découvrir son visage.

Pendant ce temps de préparation, le disciple, la fiancée confectionnent ses habits de noces.
Pour nous disciples de Christ, nos œuvres de justice formeront notre vêtement principal confectionné par nous-mêmes en fin lin. Le lin, c'est un tissu très solide, quasiment indéchirable, et inaltérable.
Cette solidité provient de ce temps que nous avons sacrifié pour nous préparer.

La couleur et l'éclat du vêtement sont aussi deux éléments primordiaux de la période de préparation.
Le vêtement est d'une blancheur éclatante.
Le blanc c'est la pureté, symbole aussi de virginité. Nous devons nous garder pur, c'est-à-dire que nos pensées et notre cœur ne sont que pour lui. 
L'exclusivité fait partie de cette pureté. Pour nous disciples, nous veillons les uns sur les autres pour que toutes nos idoles restent brisées et que notre Père demeure le centre de nos préoccupations.

Ce temps c'est aussi un temps où le couple apprend à se connaître un peu plus.
Nous rentrons dans l'intimité de l'autre, mais sans ouvrir la porte de la relation physique.  Nous restons très respectueux des habitudes et des coutumes de chacun et surtout nous cherchons à savoir ce qui fait le plus plaisir à notre futur époux ou épouse. 
C'est un moment très savoureux de rapprochement mutuel.

• Le Seigneur quant à lui, nous ouvre la porte de son cœur en nous donnant d'abord sa paix ; une paix pas comme le monde ne peut nous donner.
• Puis il nous parle doucement et secrètement à l’oreille,
• nous réveille le matin avec parfois des songes,
• nous fait des clins d'œil en montrant qu'il est derrière les situations qu'il a provoquées. 
• Il nous montre à travers le ciel, la lune, les étoiles, mais aussi le vent et la pluie, que rien n'est laissé au hasard dans nos vies et que ce qu'il a créé est en relation avec lui et nous. Que la nature révèle toujours sa gloire et que nous sommes sa gloire.
• Il renforce notre foi dans nos moments de jeûne et de prières.
• Il nous visite quand nous sommes malades et apaise nos souffrances, pour que nous puissions le remercier, le louer en toutes occasions.
• Il nous montre nos tâches, nos imperfections pour que nous nous en séparions en douceur.
Ce temps de préparation c'est en fait un temps destiné à la purification pour nous disciples de Christ.
Mais pour ceux et celles qui se destinent l'un pour l'autre, c'est aussi un temps de découverte intime, à l’intérieur d’une relation pudique, mais rempli de gestes intentionnés qui sont comme des mets délicats et exquis à partager.

• ERRER DANS SES PARVIS 

Pour savoir maintenant si un jeune couple peut habiter ensemble... ?

Là aussi c'est le Seigneur qui ouvre les portes ou qui les ferme. 
Il nous donne son avis, car il aime nous ouvrir son palais, nous laisser circuler librement dans ses parvis.
Si nous nous opposons à sa volonté en préférant la nôtre, il ne s'y opposera pas, car après nous avoir informés de la sienne, il nous laissera prendre le chemin que nous avons décidé de prendre. 
Il n'est pas un Dieu pour nous obliger à nous soumettre à lui, même s'il connaît à l'avance les brûlures que nos mauvais choix peuvent nous faire endurer.

En fait, nous connaissons la volonté du Seigneur lorsque nous sommes passés par le baptême de repentance, ou l'autel des sacrifices.
L'eau de la repentance nous a ouvert la porte de sa maison, de son tabernacle.
Après s'être lavé de nos fautes, nous avons un accès ouvert et libre auprès de Dieu.
Nous savons alors intimement si ce que nous choisissons correspond à ce qu'il aime et bien souvent sans avoir à ouvrir la Bible pour y trouver le verset qui nous l’enseignera.
Sa Parole est en nous, même si le Saint-Esprit n'est pas encore descendu. 

Vous voyez même ici, le Seigneur nous montre qu'il y a un temps entre le baptême d'eau: La déclaration d'amour ; et le baptême d'esprit : L’habitation de Dieu en nous. 

Le Seigneur attend que notre maison, son futur temple, soit complètement propre, lavé et entretenu régulièrement par des actes de confessions intimes révélant nos fautes, nos problèmes, nos souffrances, avant d'y venir demeurer par son Esprit Saint. Il attend patiemment que cette corde dont je vous parlais au début soit constituée des 3 liens d'amour : le temps, l'abstinence et la séparation).

Pour CONCLURE :
Mes frères et sœurs, vous qui vous destinez à fréquenter celui ou celle qui fait battre votre cœur, ne cherchez pas des règles et des lois toutes faites. Ne vous mettez pas de chaînes par des coutumes et des traditions humaines.
Mais suivez les traces de la reine Esther ou de la préparation de l'Epouse de Christ. Inspirez-vous  de l'amour agapeo et entourez-vous de bons conseillers qui vous montreront les tâches de votre vêtement de noces et feront passer la loi d'amour avant les rites.

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